En 1973, je lisais un article dans ce canard trésor de l'époque, "Le Sauvage" qu'il existait un mode de productions combinées qui permettait de faire vivre 10 personnes à l'hectare (alors que notre meilleure production bovine met trois vaches à l'hectare). En associant les cultures (pois, haricots, maïs et liseron, par exemple), en arrosant ces cultures d'une eau où on élèverait des carpes de Tibériade, (histoire de faire profiter les plantes des hormones secrétés par les carpes et dont l'abondance dans l'eau limiterait leur taille), avec une chèvre dans le processus et, hop, l'équilibre alimentaire était organisé... Que sont devenus ces études ?... Qui intéresseraient elles encore ?...
Dans ce même canard en 73 on parlait des CFC qui trouaient la couche d'ozones, de l'eau douce qui allait devenir rare et des risques de surproduction de CO2...
Quelqu'un a-t-il quelques traces de ce canard où Claire Bretecher publiait des dessins ravageurs ?
C'est désespérant : voilà que je parle d'hypothèses de s'en sortir avec nostalgie...
J'oubliais... Frédéric Joignot vient de remettre à la une de son blog (http://fredericjoignot.blogspirit.com) son article sur la publication de Jane GOODALL. "Chacune de nos bouchées change la face du monde". C'est la dessus...
A lire assurément.
On me signale que le "coût" d'un kilo de viande bovine serait sept fois supérieur à l'équivalent en protéines végétales - et non quatre fois supérieur comme je l'ai écrit. Pour le poisson et la volaille, l'écart est un peu moindre.
Je n'ai aucune trace du "Sauvage", mais sur les processus de production "intégrés" on peut lire aujourd'hui le livre de Gunter Pauli, traduit par Dominique Viel: "Croissance sans limite".
Merci pour le lien vers la présentation de Jane Goodall. Elle peut paraître extravagante, mais c'est quelqu'un qui a une grande profondeur. (Pour que l'adresse du blog soit bonne, il faut supprimer la parenthèse de fin).
3 commentaires
En 1973, je lisais un article dans ce canard trésor de l'époque, "Le Sauvage" qu'il existait un mode de productions combinées qui permettait de faire vivre 10 personnes à l'hectare (alors que notre meilleure production bovine met trois vaches à l'hectare). En associant les cultures (pois, haricots, maïs et liseron, par exemple), en arrosant ces cultures d'une eau où on élèverait des carpes de Tibériade, (histoire de faire profiter les plantes des hormones secrétés par les carpes et dont l'abondance dans l'eau limiterait leur taille), avec une chèvre dans le processus et, hop, l'équilibre alimentaire était organisé... Que sont devenus ces études ?... Qui intéresseraient elles encore ?...
Dans ce même canard en 73 on parlait des CFC qui trouaient la couche d'ozones, de l'eau douce qui allait devenir rare et des risques de surproduction de CO2...
Quelqu'un a-t-il quelques traces de ce canard où Claire Bretecher publiait des dessins ravageurs ?
C'est désespérant : voilà que je parle d'hypothèses de s'en sortir avec nostalgie...
J'oubliais... Frédéric Joignot vient de remettre à la une de son blog (http://fredericjoignot.blogspirit.com) son article sur la publication de Jane GOODALL. "Chacune de nos bouchées change la face du monde". C'est la dessus...
A lire assurément.
On me signale que le "coût" d'un kilo de viande bovine serait sept fois supérieur à l'équivalent en protéines végétales - et non quatre fois supérieur comme je l'ai écrit. Pour le poisson et la volaille, l'écart est un peu moindre.
Je n'ai aucune trace du "Sauvage", mais sur les processus de production "intégrés" on peut lire aujourd'hui le livre de Gunter Pauli, traduit par Dominique Viel: "Croissance sans limite".
Merci pour le lien vers la présentation de Jane Goodall. Elle peut paraître extravagante, mais c'est quelqu'un qui a une grande profondeur. (Pour que l'adresse du blog soit bonne, il faut supprimer la parenthèse de fin).
Les commentaires sont fermés.