Callisthène dérrange car il n'a pas besoin des autres ! Il en est agaçant, pas de faiblesse, pas d'erreur, besoin de peu pour être heureux... en plus il ne partage pas ! Quel égoïste !
C'est pas normal !
Pas étonnant qu'il y ait une manifestation devant sa porte.
Mais quelle force d'esprit surhumaine faut-il pour pouvoir être un Callisthène et jouir des vrais plaisirs du monde qui nous entoure si pleinement qu'avec seulement très peu de chose on peut être heureux !?
Mais il me semble qu'il manque quelque chose d'essentiel dans ce portrait, il manque la chaleur humaine, l'amour du prochain qui pour moi reste un des piliers essentiels de l'équilibre, de la plénitude. Ta description fait ressembler Callisthène à un boulimique de plaisirs égoïstes, même si il est parcimonieux avec les ressources de la nature et de ce fait préserve l'intérêt commun.
Voilà un vrai message de Noël, merci Anette!
Si j'en crois mes (très) lointains souvenirs de lycée, Callisthène avait eu quelques démélés avec Alexandre parce qu'il avait refusé de se prosterner devant lui. Tu vois, rien n'a changé: si tu ne prosternes pas devant un quelconque alexandre (Vatimbella...), tu seras châtié. L'idole païene du moment, c'est la consommation. Prosterne-toi, consommateur ervile! Ceci dit, j'en connais qui se prosternent pour mieux mordre les orteils. Mais ils sont rares et on parle peu de ceux-là.
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Callisthène dérrange car il n'a pas besoin des autres ! Il en est agaçant, pas de faiblesse, pas d'erreur, besoin de peu pour être heureux... en plus il ne partage pas ! Quel égoïste !
C'est pas normal !
Pas étonnant qu'il y ait une manifestation devant sa porte.
Mais quelle force d'esprit surhumaine faut-il pour pouvoir être un Callisthène et jouir des vrais plaisirs du monde qui nous entoure si pleinement qu'avec seulement très peu de chose on peut être heureux !?
Mais il me semble qu'il manque quelque chose d'essentiel dans ce portrait, il manque la chaleur humaine, l'amour du prochain qui pour moi reste un des piliers essentiels de l'équilibre, de la plénitude. Ta description fait ressembler Callisthène à un boulimique de plaisirs égoïstes, même si il est parcimonieux avec les ressources de la nature et de ce fait préserve l'intérêt commun.
Voilà un vrai message de Noël, merci Anette!
Si j'en crois mes (très) lointains souvenirs de lycée, Callisthène avait eu quelques démélés avec Alexandre parce qu'il avait refusé de se prosterner devant lui. Tu vois, rien n'a changé: si tu ne prosternes pas devant un quelconque alexandre (Vatimbella...), tu seras châtié. L'idole païene du moment, c'est la consommation. Prosterne-toi, consommateur ervile! Ceci dit, j'en connais qui se prosternent pour mieux mordre les orteils. Mais ils sont rares et on parle peu de ceux-là.
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