Pour nous rafraîchir la mémoire, je vous rappelle que l'apocalypse a déjà été prévue, le 31.12.1999 à 00h00 +1 seconde. Le monde devait s'arrêter, nos petites machines qui en pilotent le quotidien n'étant plus capables de faire la différence entre hier et demain. Donc tous à vos postes, principe de précaution oblige... Des festivités de nouvel an sous bonne garde de multiples astreintes professionnelles, voilà mon dernier souvenir du grand "Bug" de l'an 2000.
Si la relecture de nombreux programmes informatiques n'a pas été inutile, l'enjeu en valait-il la chandelle ? Pour les sociétés de conseil en tous genres, sûrement, pour les exploitants du quotidien sûrement pas.
Je remercie l'an 2000 pour sa participation à l'évènement et la grâce qu'il nous a accordé de ne pas disparaître dans le chaos. Sans cela je n'aurai pas connu le plaisir de vivre pleinement la pandémie du siècle.
2 commentaires
Bonjour,
Il n'est pas étonnant que cette manipulation atteigne des sommets et qu'elle soit à découvert, cela se passe en Suisse.
N'y a-t-il pas là comme un règlement de compte... bancaire.
Voir mon billet en réponse à celui-ci :
http://jacques-le-bris.over-blog.com/article-36323847.html
Cordialement
JLB
Pour nous rafraîchir la mémoire, je vous rappelle que l'apocalypse a déjà été prévue, le 31.12.1999 à 00h00 +1 seconde. Le monde devait s'arrêter, nos petites machines qui en pilotent le quotidien n'étant plus capables de faire la différence entre hier et demain. Donc tous à vos postes, principe de précaution oblige... Des festivités de nouvel an sous bonne garde de multiples astreintes professionnelles, voilà mon dernier souvenir du grand "Bug" de l'an 2000.
Si la relecture de nombreux programmes informatiques n'a pas été inutile, l'enjeu en valait-il la chandelle ? Pour les sociétés de conseil en tous genres, sûrement, pour les exploitants du quotidien sûrement pas.
Je remercie l'an 2000 pour sa participation à l'évènement et la grâce qu'il nous a accordé de ne pas disparaître dans le chaos. Sans cela je n'aurai pas connu le plaisir de vivre pleinement la pandémie du siècle.
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