13/07/2009
Science et vie
Je me souviens encore d'un article de Sciences et Vie - c'était il y a près de cinquante ans - le premier que j'aie lu sur les transferts névrotiques de l'être humain vers les animaux de compagnie. Vous avez sans doute souvent constaté comme moi combien certains chiens aboient et enragent pour un rien. La thèse de l'article était que ces animaux expriment l'inconscient des humains avec qui ils vivent. On y citait le cas d'un loulou de Poméranie qui devenait quasiment fou, au point de mordre sa maîtresse, dès que quelqu'un sonnait à la porte. En fait, c'était cette femme qui était angoissée...