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09/06/2010

Un soir, un train...

 

Sur le blog de l'excellent Paul Jorion, un aveu qui me va droit au coeur, tant la question qu'il pose je me la pose moi-même à tout moment. Paul mange des tapas à la terrasse d'un restaurant parisien:

"Je regarde tous ces gens assis à des terrasses, toute cette foule bruyante, comme si de rien n'était, et je me dis : il y a deux possibilités, ou bien c'est nous qui rêvons avec nos longues dissertations sur la crise et la fin d'un monde, ou bien ce sont eux, ceux que l'on voit là, qui poursuivent un rêve : le rêve d'un monde qui en réalité a cessé d'exister."

Je vous invite à lire la suite:

http://www.pauljorion.com/blog/?p=12739

L'extrait du film qui donne le titre à cette chronique (que j'ai repris sans vergogne pour la mienne) est proprement hypnotique.

Paul Jorion est un des très rares à avoir annoncé la crise avant qu'elle se produise, alors qu'évoquer cette perspective n'était pour l'establishment économique et financier que billevesées de Cassandre en mal de notoriété. Aujourd'hui, à les entendre, tous les "experts" nous avaient mis en garde. La différence, c'est que Paul avait écrit un livre pour le dire.

20/05/2010

Alors, on en fait quoi ?

 

Cette note figure désormais dans le recueil

Les ombres de la caverne

Editions Hermann, juillet 2011

27/03/2010

On se fait une bouffe ?

http://arganiereditions.blogspot.com/