19/05/2010
De crise en crise, de dettes en dettes
N'est-ce pas étrange que l'on aille ainsi de crise en crise et que l'on passe, d'un seul coup, de la dette des petits emprunteurs impécunieux des subprimes à celles des Etats du monde occidental: la Grèce d'abord et bientôt l'Espagne, le Portugal, le Royaume-Uni, etc. ?
Et, dans les deux cas, ce sont les mêmes, les Etats, qui mettent in fine la main au portefeuille.
"Cherchez à qui le crime profite", disait-on dans les vieilles séries policières...
En l'occurrence, cela ressemble quelque peu à une affaire de vampires.
Le complexe militaro-politico-industrio-financier qu'on appelle par commodité "les Etats-Unis" et que la Chine tient par les... - hum! vous m'avez compris - après s'être voulu le gendarme du monde, essaierait-il de se redonner du poids en mettant la main, coûte que coûte, sur les réserves d'énergie fossile de la planète, puis, par le biais de ses financial killers, sur l'Europe ?
Osée mon hypothèse ?
http://www.lemonde.fr/economie/article/2010/05/19/crise-d...
16:15 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : dette publique, spéculation, marchés financiers
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