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18/01/2008

Castration par éblouissement

 

 

 

Cette note figure désormais dans le recueil

Les ombres de la caverne

Editions Hermann, juillet 2011

Commentaires

Je partage complètement ton analyse, mon cher Thierry.
Quelques pensées junguiennes nous disent aussi que chacun se conforme tout ou partie à un idéal-type qui nous aspire identitairement. Une sorte de Grand Autre, aurait dit Lacan, qui modélise notre vision du monde avec un florilège de "prêts à penser", critérium à comprendre le monde. Après tout est question de transfert...
Bien sur, la conscience du phénomène nous en donne une certaine maîtrise, mais jusqu'où ?...

Écrit par : Jean-Marc SAURET | 18/01/2008

Et Kohut nous met en garde contre ce qu'il appelle notre "moi grandiose" !

Dans l'exemple que je donne, je vois surtout le fantasme désespéré - et désespérant - de se faire reconnaître par un père évidemment fantasmé.

Entreprise vouée à l'échec, le support de la projection ne donnant jamais rien au motif qu'on "ne tient les gens qu'autant qu'on ne leur a pas donné ce qu"ils attendent" (Thomas dans le texte).

Écrit par : Thierry | 18/01/2008

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