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08/12/2020

Campagne vaccinale (saynète)

 

 

 

Personnages: 

Le Président, assis derrière son bureau; « Monsieur Vaccin » dans un fauteuil en face de lui.

 

Le Président

Nous allons donc pouvoir disposer d’un vaccin et sortir de ce cauchemar!

 

Monsieur Vaccin

Je voudrais néanmoins vous indiquer une notion de prudence. 

 

Le Président

Je vous écoute.

 

Monsieur Vaccin

Je crois qu’il faudra conserver, tout au long de l’élaboration que vous ferez de la politique concernant la stratégie de vaccination,  que pour l’instant nous ne disposons que de communiqués de presse de la part des industriels. Nous attendons avec impatience - en tant que scientifique j’attends avec impatience - des publications scientifiques. Il y aura des dossiers qui seront adressés aux autorités règlementaires qui seront évidemment très complets, qui ont déjà été adressés probablement mais dont nous n’avons pas connaissance (1).

 

Le Président

J'en prends note.

 

Monsieur Vaccin

Par définition, le recul à ce jour sur l’évaluation de l’efficacité et de la sécurité de ces vaccins ne dépasse pas deux à trois mois. C’est encore bref même si c’est très significatif.

 

Le Président

Nous sommes d’accord, c’est très significatif. 

 

Monsieur Vaccin

Les données ne sont pas encore complètes non plus pour savoir jusqu’à quel point ces vaccins sont efficaces chez les personnes les plus à risques, donc les personnes âgées et les personnes souffrant de maladies chroniques.

 

Le Président 

J’en prends note également. 

(il se lève et tend la main à son visiteur)

Merci de votre prudence éclairée…

(L’autre se lève mais ne s’éloigne pas)

Autre chose ?

 

Monsieur Vaccin 

Et enfin, dernier point qui est critique et dont la solution prendra du temps, c’est de savoir si le vaccin d’une part protège l’individu vacciné contre l’infection et espérons-le contre l’infection grave, mais aussi protège contre la transmission, ce qui permettrait de briser la chaîne de transmission et plus rapidement d’arriver à voir la pandémie se résoudre. Il faudra probablement plusieurs mois pour avoir ce dernier type d’information qui aussi, forcément, aura un impact sur les politiques de vaccination.

 

Le Président

Tout est clair. Je vous remercie. 

(se tournant vers les coulisses)

Varex ? On vaccine. En commençant par les vieux. 200 millions de doses. 


Si cette saynète est imaginaire, les personnages et la plus grande partie du dialogue ne le sont pas. « Monsieur Vaccin » existe et s’appelle Alain Fisher. Ses répliques sont la reproduction de l’intervention qu’il a faite à la conférence de presse du Gouvernement du 3 décembre*. Rien n’en a été retiré, rien n’y a été ajouté, elles ont été simplement découpées pour les besoins du dialogue. Au surplus, les répliques sont données dans l’ordre de l’intervention. Les répliques du Président sont imaginaires. 

* https://www.youtube.com/watch?v=KcrrZyXjKxU

(1) Eric Caumes aujourd'hui (France Inter): "Sur les vaccins à base de matériel génétique, on n'a toujours pas les publications scientifiques, les dossiers sont entre les mains des agences du médicament américaine et européenne". Se souvenir que l'European Medicines Agency n'est pas une agence indépendante. 

04/12/2020

Vaccinations: deux textes à méditer

 

 

Chers Amis et lecteurs de mon blog,

 

Une fois n’est pas coutume, je vous invite à lire deux documents qui ne sont pas de ma plume mais le sujet est essentiel, urgent, et leur rapprochement me semble on ne peut plus pertinent.

 

Il s’agit de la déclaration - que je qualifierai « d’ignorance » - de M. Alain Fisher, « M. Vaccin » du Gouvernement, lors de la conférence de presse du Gouvernement le 3 décembre, et d’une lettre ouverte du professeur Christian Perronne, diffusée la veille.

 

Je vous laisse avec ces éléments de réflexion.

 

TG.

 

 

Déclaration d’ignorance
de M. Alain Fisher
le « Monsieur Vaccin » du Gouvernement

Conférence de presse du 3 décembre 2020

 

« Je voudrais néanmoins vous indiquer une notion de prudence. Je crois qu’il faudra conserver tout au long de l’élaboration que vous ferez de la politique concernant la stratégie de vaccination, que:

 

1/ Pour l’instant nous ne disposons que de communiqués de presse de la part des industriels. Nous attendons avec impatience - en tant que scientifique j’attends avec impatience - des publications scientifiques. Il y aura des dossiers qui seront adressés aux autorités règlementaires qui seront évidemment très complets, qui ont déjà été adressés probablement mais dont nous n’avons pas connaissance.

 

2/ Par définition, le recul à ce jour sur l’évaluation de l’efficacité et de la sécurité de ces vaccins ne dépasse pas deux à trois mois. C’est encore bref même si c’est très significatif.

 

3/ Les données ne sont pas encore complètes non plus pour savoir jusqu’à quel point ces vaccins sont efficaces chez les personnes les plus à risques, donc les personnes âgées et les personnes souffrant de maladies chroniques.

 

4/ Et enfin, dernier point qui est critique et dont la solution prendra du temps, c’est de savoir si le vaccin d’une part protège l’invidu vacciné contre l’infection et espérons-le contre l’infection grave, mais aussi protège contre la transmission, ce qui permettrait de briser la chaîne de transmission et plus rapidement d’arriver à voir la pandémie se résoudre. Il faudra probablement plusieurs mois pour avoir ce dernier type d’information qui aussi, forcément, aura un impact sur les politiques de vaccination. »

***


Message du Professeur Christian Perronne
Chef du service des Maladies infectieuses et tropicales de l’Hôpital de Garches

 


« Chers amis,

 

La France, qui vit un cauchemar depuis des mois, se réveille.
Dans beaucoup de villes de notre beau pays, le peuple est en marche pour retrouver sa liberté, pour exiger le retour de la démocratie.

 

En tant que médecin, spécialiste des maladies infectieuses et ayant été président de nombreuses instances ou conseils de santé publique, y compris sur les vaccins, je mesure chaque jour les incertitudes générant la peur et le désarroi croissant de nos concitoyens. Je prends le risque d'être à nouveau qualifié de « complotiste » ou mieux de « rassuriste >>, termes désignant ceux qui critiquent ou challengent la pensée unique.

 

Je finis par être fier de ces appellations, mes propos exprimant la vérité n'ayant jamais changé depuis le début de l'épidémie. Je considère donc qu'il est de ma responsabilité de m'exprimer à nouveau ce jour sur l'ensemble du volet médical de la Covid-19 et en particulier sur le sujet vaccinal, désormais l'élément central et quasiment unique de la politique de santé de l'Etat.

 

Beaucoup de Français ont été hypnotisés par la politique de la peur. Depuis septembre 2020, on nous avait annoncé une deuxième vague terrible de l'épidémie, pire que la première.


Le Ministre de la Santé, le Dr Olivier Véran, le Président du Conseil scientifique de l'Elysée, le Pr Jean François Delfraissy, le Directeur Général de la Santé, le Pr Jérôme Salomon, l'Institut Pasteur nous ont annoncé des chiffres catastrophiques avec une augmentation exponentielle du nombre de morts. Les hôpitaux devaient être saturés et débordés.

 

Même le Président de la République, lors d'une allocution télévisée récente annonçant le reconfinement, nous a prédit pas moins de 400.000 morts, renchérissant sur les 200.000 morts estimés peu de temps auparavant par le Pr Arnaud Fontanet de Pasteur.

 

Ces chiffres irréalistes n'avaient qu'un but, entretenir la peur pour nous faire rester confinés, sagement masqués. Pourtant l'usage généralisé des masques en population générale n'a aucun intérêt démontré scientifiquement pour enrayer l'épidémie de SARS-COV-2.

 

L'utilisation des masques devrait être ciblée pour les malades, leur entourage (surtout les personnes à risque) et les soignants au contact.

 

Or l'épidémie régresse et n'a entraîné aucune apocalypse. La dynamique de la courbe montrait depuis des semaines le profil d'un rebond épidémique saisonnier qui s'observe avec certains virus, une fois la vague épidémique terminée.

 

Cela témoigne de l'adaptation du virus à l'homme et est aussi le reflet de l'immunité collective qui progresse dans la population et qui nous protège naturellement.

 

Les souches de virus qui circulent actuellement ont perdu de leur virulence. Les autorités ne pourront pas dire que c'est grâce au confinement car la tendance à la baisse avait commencé avant même sa mise en place.

 

La régression de l'épidémie avait même commencé, dans certaines agglomérations, avant l'instauration du couvre-feu.

 

Malheureusement, il y a encore des décès qui surviennent chez des personnes très âgées, des grands obèses ou des personnes souffrant d'un diabète sévère, d'hypertension artérielle grave,de maladies cardiorespiratoires ou rénales déjà invalidantes.

 

Ces personnes à risque sont parfaitement identifiées. Les mesures sanitaires devraient donc être ciblées pour les protéger, les dépister et les traiter le plus tôt possible dès le début des symptômes par l'hydroxychloroquine et l'azithromycine dont l'efficacité et l'innocuité sont largement confirmées, si on donne le traitement précocément.

 

Beaucoup de décès auraient pu être évités. Or on a dissuadé les médecins généralistes et les gériatres de traiter.

 

Dans ce contexte, continuer à persécuter nos enfants derrière des masques inutiles reste incompréhensible.
Toutes ces mesures sont faites pour que les Français réclament un vaccin. Or quel est l'intérêt d'un vaccin généralisé pour une maladie dont la mortalité est proche de 0,05% ? Aucun. Cette vaccination de masse est inutile. De plus, les risques de la vaccination peuvent être plus importants que les bénéfices.

 

Le plus inquiétant est que de nombreux pays, dont la France, se disent prêts à vacciner dans les semaines qui viennent, alors que la mise au point et l'évaluation de ces produits se sont faites à la va-vite et qu'aucun résultat de l'efficacité ou de la dangerosité de ces vaccins n'a été publié à ce jour.

 

Nous n'avons eu le droit qu'à des communiqués de presse des industriels fabricants, permettant de faire flamber leurs actions en bourse.

 

Le pire est que les premiers « vaccins >> qu'on nous propose ne sont pas des vaccins, mais des produits de thérapie génique.

 

On va injecter des acides nucléiques qui provoqueront la fabrication d'éléments du virus par nos propres cellules.

 

On ne connait absolument pas les conséquences de cette injection, car c'est une première chez l'homme. Et si les cellules de certains « vaccinés » fabriquaient trop d'éléments viraux, entrainant des réactions incontrôlables dans notre corps ?

 

Les premières thérapies géniques seront à ARN, mais il existe des projets avec l'ADN. Normalement, dans nos cellules, le message se fait de l'ADN vers l'ARN, mais l'inverse est possible dans certaines circonstances, d'autant que nos cellules humaines contiennent depuis la nuit des temps des rétrovirus dits « endogènes >> intégrés dans l'ADN de nos chromosomes.

 

Ces rétrovirus « domestiqués » qui nous habitent sont habituellement inoffensifs (contrairement au VIH, rétrovirus du sida par exemple), mais ils peuvent produire une enzyme, la transcriptase inverse, capable de transcrire à l'envers, de l'ARN vers l'ADN.

 

Ainsi un ARN étranger à notre corps et administré par injection pourrait coder pour de l'ADN, tout aussi étranger, qui peut alors s'intégrer dans nos chromosomes.

 

Il existe donc un risque réel de transformer nos gènes définitivement. Il y a aussi la possibilité, par la modification des acides nucléiques de nos ovules ou spermatozoïdes, de transmettre ces modifications génétiques à nos enfants.

 

Les personnes qui font la promotion de ces thérapies géniques, faussement appelées « vaccins » sont des apprentis sorciers et prennent les Français et plus généralement les citoyens du monde, pour des cobayes.

 

Nous ne voulons pas devenir, comme les tomates ou le mais transgéniques des OGM (organismes génétiquement modifiés). Un responsable médical d'un des laboratoires pharmaceutiques fabricants a déclaré il y a quelques jours qu'il espérait un effet de protection individuelle, mais qu'il ne fallait pas trop espérer un impact sur la transmission du virus, donc sur la dynamique de l'épidémie.

 

C'est bien là un aveu déguisé qu'il ne s'agit pas d'un vaccin. Un comble.

 

Je suis d'autant plus horrifié que j'ai toujours été en faveur des vaccins et que j'ai présidé pendant des années des instances élaborant la politique vaccinale.

 

Aujourd'hui, il faut dire stop à ce plan extrêmement inquiétant. Louis Pasteur doit se retourner dans sa tombe.

 

La science, l'éthique médicale et par-dessus tout le bon sens doivent reprendre le dessus.

 

Christian Perronne

2 décembre 2020"