Indiscipline intellectuelle

 

le 8 février 2010 à 18h30

A l'Espace Harmattan

21 bis rue des Ecoles, 75005 Paris

(M° Maubert-Mutualité, ligne 10)

Le premier de ces récits, Dos à la mer, m'a considérablement ému. Le deuxième, Fin de bobine, m'a complètement retourné!

 

Je remercie Martine pour le lien ci-dessous que je vous invite à suivre: Edwy Plenel évoque La société du spectacle de Guy Debord, livre auquel fait écho un article récent de Jacques Baynac La société de fiction, publié dans Le Débat.

http://sites.radiofrance.fr/chaines/france-culture2/emiss...

"Lignes de fuite est une chronique d'actualité en forme d'échappée belle, hors des sentiers balisés et des calendriers convenus. Depuis janvier 2005, entre étonnements et curiosités, colères et émotions, Edwy Plenel fait partager aux auditeurs ses lectures du présent immédiat, mais aussi ses relectures d'un passé plein d'à présent. Entre résonances et décalages, déplacements et décentrements, inquiétudes et espérances, Lignes de fuite est une chronique résolument indocile et inclassable."

Dans le but louable de nous protéger contre les dérives abominables que des comportements irresponsables font peser sur l'économie, sur l'Etat et, par-dessus tout, sur notre santé mentale, je vous invite à vous méfier de tout individu ou groupe d'individus qui présenteraient les signes suivants :

Ne regarde pas quotidiennement la télévision.

Ne mange pas de viande à chaque repas.

N'a pas changé de voiture au cours des trois dernières années.

N'a pas changé de téléphone portable au cours des douze derniers mois.

A déclaré qu'il ne se ferait pas vacciner contre le virus H1N1.

Consomme du bio plus d'une fois par semaine.

Signes aggravants :

Assiste à la projection publique ou privée de films tels que : Nos enfants ne nous le pardonneront pas, Le monde selon Monsanto, Le cauchemar de Darwin, Let's make money, We feed the world...

N'hésitez pas à les dénoncer auprès de Pédiluve qui fera plus que le nécessaire et enverra si besoin est la force publique afin de réduire ces nouveaux Cathares à quia comme le firent jadis Simon de Monfort et ses preux chevaliers.

Trève de plaisanterie, que pensez-vous de ce qui suit?

Je me pose au moins deux questions:

- Sous quelles conditions le droit français permet-il d'engager de telles actions?

- Comment expliquer cette convergence de procédures issues d'administrations pourtant différentes?

http://www.terre-du-ciel.fr/perquisition.htm